Mini-Aventure de Comy n°28: Le trio s'échappe d'Impel Down.
Chapitre 157 Chapter 157 |
Informations | |
{{{Image}}} | Date de parution: | |
13/06/2015 | ||
Nom français | Chapitre 157 | |
Suivant | Chapitre 158 | |
Précédent | Chapitre 156 | |
Arc | ||
Autre informations | ||
Aucune |
Le combat faisait toujours rage opposant l'amiral Ryokugyu à l'impitoyable Koglein. Ils s'échangèrent de multiples séries d'une multitude de coups, et Ryokugyu arriva enfin à décrocher la victoire de ce funeste et épique combat contre un loup-garou. |
Au programme[]
-Côté des Dragons Célestes
-Flash-back de l'esclave de Saint-Rosward
-Arrivée du Dragon Céleste sur Hielo
Chapitre 157: "L'arrivée de Saint-Rosward sur Hielo !"[]
À quelques kilomètres de l'île Hielo, un navire arborant le symbole du Gouvernement Mondial allait en direction de Hielo. Il était fait de bois et sa tête de proue était remplacée par trois canons. Dessus se trouvait un Dragon Céleste accompagné d'esclaves et de ses compagnons. Ce n'était pas Saint-Jalmack comme la rumeur s'était répandue en une traînée de poudre sur Hielo mais Saint-Rosward. Ce dernier est au devant du navire, juste derrière les trois canons bien alignés. Il regarde l'horizon pour y perçer de l'oeil la certaine île précise. Son fidèle compagnon habillé d'une veste noire avec l'insigne du Gouvernement, les cheveux roux, et coiffé d'un chapeau noir avec une minuscule plume rouge et portant un pantalon noir ainsi qu'une cravate de la même couleur arrive vers son maître.
Sans attendre une seconde de plus, le Tenryûbito arracha des mains de son fidèle compagnon l'escargophone beige avec du rouge à lèvres violets. Ce dernier n'attendait qu'une seule chose: qu'il se fasse décrocher. Saint-Rosward tendit ses mains et décrocha l'appareil. À travers le micro résonnait une voix haute et forte: celle de la fille du Dragon Céleste.
Puis, elle décrocha délicatement de l'escargophone. Le Dragon Céleste redonna l'appareil d'un geste brusque à son compagnon, et se dernier s'empressa de le ranger bien soigneusement, sinon, il saurait qu'il s'attirerait les foudres de son maître. Il alla donc ranger l'escargot dans une cabine. Contrairement à ce qu'on pouvait le penser, cette dernière n'était pas une pièce petite et miteuse mais elle était grande et deluxe. On n'y voyait des étagères de livres propres. On aurait dit que la cabine avait été nettoyée il y a à peine une minute. Il marcha sur la pointe des pieds, de peur d'attirer le courroux de son maître pour avoir mis de la puanteur et de la saleté excessivement dans sa pièce personnelle. Il mit l'escargophone dans une boite rose avec un coeur dessus et reposa délicatement cette dernière sur la table. Il revint donc vers son maître.
Il montra de son doigt enveloppé dans un gant spécial blanc sur lequel il y avait d'accrocher plusieurs badges sa combinaison anti-fraicheur.
Le navire avançait au rythme des vagues. Ces dernières étaient lentes, longues, monotones. Saint-Rosward avait l'air perdu dans ses pensées, regardant l'océan d'un air passif. Il était assit sur un esclave. Un homme d'une musculature impressionante mesûrant dans les environs de trois mètres cinquante. Il avait des blessures partout, et l'on perçevait dans ses yeux de la fatigue émanant de son corps. Il n'était habillé qu'un d'un caleçon noir et d'un bermuda jaune foncé déchiré. Il était pied-nu. Des larmes coulaient de son visage, lui rappelant de brefs et tristes souvenirs remontant à sa vente et à son achat pour un Dragon Céleste. Il essayait d'essuyer ses larmes, mais à chaque fois qu'il tentait de le faire, Saint-Rosward lui donnait des coups de poings dans la nuque.
En disant ces deux phrases, le Tenryubitô redonna une série de trois coups de poings dans les épaules de son esclave. Apparemment, ce dernier prennait en compte chaque gestes que son prétendu maître faisait.
FLASH-BACK
C'est lors d'une vente aux esclaves, sur l'île de Rawaso. Saint-Rosward était aux enchères ainsi que son fils Saint-Charlos et sa fille Sainte-Sharlia. Le vendeur cria alors à la foule émerveillé devant le futur esclave de Saint-Rosward:
Un homme au regard noir, à la peau foncée, coiffé d'un bonnet vert, ayant les cheveux châtains ondulant son visage, et étant habillé d'une longue veste blanche et d'un long pantalon rouge se leva directement de son siège et dit alors d'une voix haute, forte, tonitruante:
La foule fut émerveillé du prix que l'homme adulte avait proposer. Tous le regardèrent avec des regards surpris et joyeux. Mais la main d'une autre femme qui se trouvait plus haut que l'homme se leva. Elle portait un chignon rose, et était assez grosse. Elle portait une robe rose adaptée aux restes de ses vêtements, et avait du rouge à lèvre vert. Elle avait également des yeux d'un vert émeraude.
Soudainement, toute la foule se retourna aussitôt vers la femme qui avait un air conquérant, agitant sa main potelée vers les personnes se trouvant dans la salle qui ne contemplaient que la force musculature abdominale de l'esclave. Elle sourit aux yeux de tout le monde. Bien entendu, les Dragons Célestes ne lui prêtaient pas la moindre attention, et Saint-Rosward marmonnait dans sa barbe et comptait sur ses doigts.
Un vent traversa la pièce des ventes d'esclaves. Personne n'osait retourner sa tête pour voir les Tenryubitô. Certains étaient néanmoins plus courageux que les autres et applaudissaient Saint-Rosward. Ce dernier se leva de son siège et sourit au reste du flot de personnes qui étaient dans la salle. Il affichait un sourire démoniaque. Le vendeur semblait avoir perdu son micro des mains et le cherchait de partout. Ile le retrouva finalement et cria:
Le Dragon Céleste sembla sur le bord de la colère lorsqu'il entendit les paroles du vendeur. Il était prêt à pousser des jurons, mais son fils le calma. Cependant, aucune autre main se leva, ni même aucune personne. Tout le monde semblait surpris, étonné. La femme et l'homme qui avaient proposer leur prix faisaient trembler leur main. Ce dernier fut secoué de sanglots, ce qui rendit son sourire à Saint-Rosward.
La foule applaudit le gagnant. Ce dernier ne prit pas la peine de les remercier. Il descendit lentement jusqu'à l'endroit où se trouvait le vendeur. Ce dernier avait l'air d'entamer une sérieuse discussion avec le Tenryubitô, mais ce dernier n'y prêta aucune attention. Il ne se chargea que de donner la monnaie, et prit l'esclave avec lui. Puis, le flot de personnes qui étaient venu acheter l'esclave se tût aussitôt et partir de la salle des enchères, baissant la tête à chaque fois que l'un d'eux croisait le regard des Dragons Célestes. Ces derniers affichaient un éternel sourire à leurs lèvres, et étaient joyeux. Ils repartirent silencieusement avec leur nouvel esclave.
FIN DU FLASH-BACK